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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 13:16

Aidez moi à faire connaître cette vidéo.

 

Grâce à vous, je pourrais peut être alors trouver un médecin qui acceptera de m'opérer.

 

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 17:16

Je voudrais dire que j'assume entièrement ce qui est écris sur ces Blog. 

Je ne fais pas de la diffamation, je dénonce un crime.

Une victime ne doit pas avoir peur de la justice.

 


 


Les sites se lisent dans cette ordre : 

 

http://rechercheverite6.over-blog.com

 1ere partie

annonce vente d'organe

 

pour comprendre mon histoire il faut regardé le blog2, ensuite le blog1, le blog5 explique la raison qui me pousse aujourd'hui à mettre mes organes en vente.

 

-  http://rechercheverite2.over-blog.com

3è partie

Historique des démarches en images et clichés médicaux

Preuve par l’image 

 

http://rechercheverite1.over-blog.com

4è partie

suite de l'historique de mes démarches

 

http://rechercheverite5.over-blog.com

2è partie

raison de la vente d'organes

 

-  http://rechercheverite3.over-blog.com

5é partie

Courrier au peuple français ainsi qu'au monde entier afin de demander leurs aides.  

 

http://rechercheverite4.over-blog.com

6è partie

nouvelles valeurs Française 

 

Les Quatre premier sites avais été bloqué par code aux moment ou des médecins avaient acceptés de m'aider.

Le problème c'est que tout c'est à nouveau compliqué, c'est pourquoi je décide de mettre à nouveau les sites afin de mettre aux courant les médecins qui ont essayés de m'aider.

J’espère peu être trouvé quelqu'un qui acceptera de m’opéré.

 

 

Tout est expliqué dans le blog5

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 17:05

 

J’avais écris la lettre adressée au bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge datée du 23.07.2011.

J’avais également créé le dossier racontant mon histoire pour le bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (HCL).

 

Mon intention était de m’adresser à ces personnes via Internet afin qu’ils sachent ce qu’il se passe réellement aux Hospices Civils de Lyon.

Le Courrier adressé au bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge ainsi que le dossier racontant mon histoire se trouve ci-dessous.

En dessous de la lettre ce trouve la chronologie de mes démarches jusqu'à aujourd’hui:

 

 

 

 

 

R------ Laurent

----------------

----------------

Tel : --------

 

D------  le 23.07.2011

 

Monsieur le Directeur,

 

Je vous écris suite à votre courrier du 27 juin 2011 en réponse à la médiation.

Il est écris qu’une copie a été envoyée au bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge pour donner son avis.

N’ayant aucune nouvelle et aillant l’impression qu’on continue a ce moqué de moi.

Je vais donc faire une chronologie de toutes mes démarches depuis la décision du Tribunal Administratif jusqu’à aujourd’hui.

La commission aura ma version des faits depuis la rencontre du Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro),ainsi que de l’EMG jusqu’a la rencontre de la conciliation.

Je mettrais ce courrier sur Internet afin que la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge soit au courrant de ce qui ce passe réellement.

 

La commission saura qui m’a dirigé sur les HCL et pourquoi.

La commission saura pourquoi je suis allé au Vinatier.

J’y raconte certains détails que la commission n’a pas considérés utile.

Ceux qui ce sente lésé pourront me poursuivre ce sera leur droits.

 

 

Je vous prie de croire, Monsieur, en l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Chronologie du  17.12.2009  au 10.07.2011

 

Image 1

Apres la décision du Tribunal Administratif qui refuse à nouveau de me faire une expertise sur les clichés médicaux qui m’auraient permis de mettre un terme à toute cette histoire.

La somme réclamé étais compréhensible étant donné qu’on m’a dis: Zidane à droit au soins du faite qu’il vaut plusieurs millions.

Cela veut dire que pour avoir de vrais soins, il faut valoir plusieurs millions.

Je n’ai pas fais ma démarche pour m’enrichir mais pour me garantir de vrai soins.

J’ai écris au Tribunal Administratif qu’une fois soigné, je rendrais la différence.

L’avocate des HCL a simplement comme à son habitude répondu que c’était compliqué.

D’après la loi j’avais droit à une contre expertise.

 

Image 2

Mon avocate ne voulait plus du dossier car elle arrêtait ce type d’affaire.

Elle m’a dis qu’il n’y avait que deux solutions.

Faire appel ou demander une contre expertise.

 

Image 3

J’ai demandé une aide juridique afin de faire une demande d’expertise sur les clichés médicaux correspondant aux images sur papier photo.

L’expertise sur ces images m’aurait permis de connaître la vérité sur mon état.

Les HCL comme le Tribunal Administratif ont toujours été contre mon droit à avoir une expertise sur ces images.

Pourquoi être contre une expertise qui prendrait environ 5 minutes.

Expertise que j’étais prêt a payé.

Les HCL ont il peur que la vérité soit faite ?

Une vérité qui aurait démontré que les HCL mon refusé des soins laissant pourrir mon état.

 

4 - Fichier : preuve que l’expert a mentie

Le Tribunal Administratif cherche t’il a protégé l’expert qu’il a nommé et qui a délibérément menti sur le produit que l’on m’a injecté. Expert qui a également menti sur mon état se rendant donc complice d’un crime. (Obstruction à la justice)

  altim3
notice-copie-1

  

Image 5 – 26.03.2010

Ma Demande d’aide juridique pour demander une expertise sur les clichés médicaux a été rejetée.

 

Image 6 – 6.05.2010

J’ai fais appel de la décision en demandant simplement la nomination d’un avocat du fait qu’aucun avocat ne voulait du dossier en précisant être près à payer l’expertise et l’avocat.

 

Image 7 – 28.05.2010

Ma demande a encore été rejetée.

 

  

J’ai à nouveau essayé de trouver un avocat sans succès.

N’arrivant pas à me faire soigner comme une personne normale.

N’arrivant pas à trouver un avocat qui accepte de m’aider à faire respecter mon droit à la vérité sur mon état par la justice afin de me permettre par la suite de réclamé de vrai soins.

Je ne trouvais plus aucuns moyens de faire respecter mes droits.

Mon droit au soins ou mon droit à la vérité.

J’ai compris que je n’avais aucun droit, je devais juste me taire.

 

J’ai donc pris la décision de faire respecter mon droit d’être soigné en devenant un criminel.

Mon résonnement était simple :

Zidane a droit aux soins du fait qu’il vaut des millions

Les assassins, vendeurs de drogue ont droit à des soins car c’est la loi

Pour moi, on me répond juste que c’est différent.

N’ayant jamais eu de problème avec la justice et ne voulant faire de mal à personne je devais donc trouver un moyen d’aller en prison.

J’ai décidé de mettre le feu à un buisson en face du Tribunal Administratif.

Cette décision était simple, je ne voulais pas brûlé un véhicule appartement à une personne qui aurait travaillé pour l’acquérir et ne voulait blesser personne.

 

J’ai posté plusieurs courriers Tribunal Administratif, Mr Sarkozy, expert afin de dire ce que je pense d’eux.

J’avais également envoyé un courrier à la presse.

 

 

 Le  2.08.2010,  je me suis rendu en face du Tribunal Administratif pour mettre le feu à un buisson.

Je me suis ensuite dirigé au Tribunal De Grande Instance afin de me livrer pour aller en prison et espéré avoir enfin des droits.

En entrant au Tribunal De Grande Instance, j’ai déposé mon dossier sur la table devant les détecteurs de métaux.

J’ai dis aux policiers que je venais de mettre le feu à un buisson en face du Tribunal Administratif.

 

8 - fichier – courrier remis au policier ainsi que dossier 31.07.2010

Je leur ai remis un courrier adressé aux policiers expliquant mon geste.

J’ai expliqué vouloir aller en prison pour avoir enfin des droits et faire respecter mon droit aux soins.

Des policier sont venus me récupérer, m’ont menotté et emmené en face du Tribunal Administratif en demandant si j’étais bien celui qui avait mis ce feu.

Le buisson étais toujours là il n’y avait quasiment pas de dégâts.

Les policier sont alors allez voir le Tribunal Administratif afin de savoir s’il voulait porter plainte contre moi.

Le Tribunal Administratif ne voulait pas porter plainte contre moi.

Les policiers m’ont emmené au commissariat afin de prendre ma déposition.

 

J’ai remis un dossier complet aux policiers.

J’expliquais que je n’avais pas d’autres choix étant donné que la médecine se foutait de moi en me baladant d’un point de vu de la justice comme d’un point de vu médical (HCL).

Je ne voulais plus dépendre du Tribunal Administratif qui pour moi n’était pas une vraie justice. Malgré le fait que j’ai pu prouvée au Tribunal Administratif que l’expert avait délibérément mentie sur le produit injecté et qu’il avait délibérément refusé de parler de l’IRM fait en Suisse.

Qu’il avait également délibérément menti sur mon état du fait qu’en médecine du travail rien qu’au vu de cette IRM Suisse on me dit que je ne peux pas travailler.

Cet expert n’a même pas été capable en plus de 6 mois d’ouvrir un bouquin (VIDAL) ou faire une simple recherche sur Internet concernant le produit injecté.

 

Logiquement cette expertise ne valait rien.

Le Tribunal Administratif malgré les preuves apportées a toujours refusé mon droit à une contre expertise.

 

  

Une fois que j’ai signé ma déposition, j’ai attendu un moment devant le bureau de l’officier de police.

Un policier est venu me chercher en me disant qu’il fallait rechercher une association par Internet afin de faire respecter mes droits.

Qu’il y avait d’autre façon de faire respecter mes droits.

J’ai expliqué en avoir mare d’être balader et que je voulais aller en prison.

J’aurais alors logiquement des droits.

(Les policiers étaient sympas, ils faisaient leur travail)

On m’a descendu dans une pièce où il y avait une sorte de banc et un martelas (sûrement une cellule).

On m’a ensuite emmené à Grange Blanche pour voir un médecin.

J’ai vu un médecin, je lui ai raconté mon histoire.

Clac à gauche infiltrations trou clac à droite.

Procédures contre les HCL pour faire respecter mes droits. Le médecin a refusé de regarder les divers comptes rendus qui se trouvaient dans mon dossier lors de mon arrestation.

 

Le médecin est allé voir les policiers en disant que j’étais fou.

J’ai simplement dis au policier que je n’étais pas d’accord.

Je disais ne pas être pas fou, je voulais juste que l’on m’opère afin de retrouver une vie normale.

Le médecin a dit alors qu’il fallait m’attacher.

Je n’ai posé aucune résistance.

Une fois attaché, bras et jambes, on a tiré un rideau.

J’ai entendu une personne dire « ça lui apprendra ».

Parlait on de moi ou d’une autre personne ?

 

 

      

On est venu me chercher pour me transférer au service d’urgences du Vinatier.

J’étais toujours attaché bras et jambes.

Mon intention était de commencer une grève de la faim jusqu’à ce que mon droit à de vrais soins soit respecté.

Je refusais de boire et de manger.

Je refusais de prendre le cachet qu’il voulait que je prenne.

Une infirmière m’a dis qu’ils pouvaient me forcer à manger.

Si je refusais de prendre le cachet, on me ferait une injection.

J’étais toujours calme.

Refusant toujours de prendre le cachet on m’a alors fais une injection.

 

On m’a  transféré dans un autre service ou j’étais en salle d’isolement ».

J’étais toujours attaché bras et jambes.

Je refusais de boire et manger.

J’étais attaché de façon à être bloqué sur le dos aucuns mouvements n’étaient possibles.

J’ai demandé à l’infirmier s’il était possible de me donner une certaine longueur afin de pouvoir me tourner sur les cotés.

On a accepté.

Je refusais toujours de boire et de manger tant que l’on ne se décidait pas à faire respecter mon droit à être opéré afin de retrouver une vie normale.

 

J’ai vu le psychiatre (médecin) de service avec l’infirmier.

Ils m’ont dit que j’allais voir un médecin généraliste afin d’être examiner afin de  savoir ce qu’il en était.

On m’expliquait que je ne devais pas faire de grève de la faim, car ce n’était pas bien.

Voyant que j’étais quelqu’un de calme, On m’a détaché.

Je mangeais en salle d’isolement.

Apres quelques jours on m’a mis dans une chambre.

A partir de ce jour, je mangeais avec les autres patients.

Le médecin, infirmiers et infirmières étaient tous sympas dans le service.

On me donnait un simple un cachet pour me détendre.

J’ai pu ensuite être examiné par le médecin généraliste du service.

Le médecin généraliste avait lu tout mon dossier et comptes rendus remis lors de mon arrestation.

 

Le médecin m’a examiné le dos à l’endroit que j’indiquais ainsi qu’à l’estomac.

 

Le médecin m’a demandé pour le Docteur F (chirugien)

J’ai dis que sa secrétaire m’avait dit de repartir en Suisse.

(Je pense que la secrétaire du Docteur F  la dit sans le consulter).

 

Le médecin m’a parlé du Docteur Vial (neurologue de Neuro)

J’ai dis que lorsque qu’il était revenu après avoir vu mon dossier, il m’avait juste dis que j’avais bien un trou.

Il n’a rien fait et avait l’air fâché. (Voir exposé des faits)

 

Le médecin m’a parlé alors du Docteur Chapurlat (rhumatologue des Grange Blanche).

J’ai dis qu’il m’avait dit qu’il ne ferait rien et qu’il m’avait dit que tout le monde n’avait pas droit aux soins en France. (Voir exposé des faits)

Son explication du trou était que je faisais beaucoup de sport.

 

Le médecin généraliste du Vinatier m’a dit que sa politique n’était pas de bourré les gens mais qu’elle ne se mêlerait pas de ce dossier.

Elle m’a  dis que j’étais grillé aux HCL mais qu’il y avait d’autres moyens de se faire soigner (autre que les HCL).

Apres quelques jours, on m’a dit qu’il fallait que je sorte du Vinatier car ma parole ne valait rien en étant enfermé ici. (Je ne dirais pas qui est la personne qui m’a dis cela)

Je devais normalement bientôt sortir mais entre-temps, j’ai été changé de service.

On m’avait transféré dans le service correspondant au secteur de ma ville de résidence.

 

Je devais à nouveau tout recommencé à zéro.

J’ai expliqué mon geste et mon histoire au médecin (psychiatre). 

On me disait que mon geste était grave, on m’a changé de traitement.

On me disait qu’il y avait d’autres moyens de se faire soigner que de mettre le feu à un buisson en face du Tribunal Administratif.

Je demandais à avoir le droit d’aller voir mon médecin traitant actuel afin qu’il me dirige.

Le médecin psychiatre voulait d’abord que je vois leur médecin généraliste afin d’avoir son  avis.

Le généraliste du service était en vacance, je devais donc attendre qu’il revienne de vacances.

 

Médecins et infirmiers étaient également gentils dans ce service.

 

J’expliquais au médecin qu’il fallait bien avoir l’a vérité sur mon état pour pouvoir être ensuite dirigé vers un chirurgien.

On me disait qu’il n’y avait pas de vérité que la vérité n’existe pas.

On disait que j’avais un problème d’interprétation.

 

 

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 16:27

  Image 9

Le médecin (psychiatre) m’a remis un recommandé du Préfet où il était dit que j’étais en hospitalisation d’office.

En discutant avec d’autres patients on me disait que l’hospitalisation d’office ne pouvait pas dépasser 3 mois.

Le médecin (psychiatre) m’a dit que c’était lui qui disait combien de temps durait l’hospitalisation d’office et qu’il n’y avait pas de limite de temps.

J’ai expliqué que ma mutuel ne couvrait que 2 mois d’hospitalisations.

Le médecin a alors fait une demande de prise en charge.

J’ai expliqué avoir une mutuelle, car j’ai toujours refusé d’être à la CMU.

Je ne voulais pas qu’on dise que j’étais un profiteur.

Ne sachant pas combien de temps ils allaient me garder mes parents ont déposés à ma place un dossier pour avoir la CMU au cas ou cela mettrait plus de temps à sortir du Vinatier.

 

Le médecin était gentil comme personne mais c’était difficile de le convaincre.

Il refusait de lire le dossier écrit « exposé des faits »  racontant mon histoire ainsi que toutes mes démarches.

Il me disait qu’il m’écoutait.

Il ne comprenait pas pourquoi aucuns médecins n’acceptaient de m’aider.

 

Je disais pourquoi ne pas me faire un IRM comme celui des Suisse cela mettrait un terme à tout ça. Vu que personne ne veut travailler avec un IRM venant de l’étranger qu’il le face ici.

On attendait que je voie le généraliste du service.

 

Lorsque j’ai vu  le médecin généraliste, j’ai raconté mon histoire.

Il avait regardé tout mon dossier. Il m’a examiné : dos, estomac, moyen fessier.

Il m’a donné un traitement qui me permettait d’aller plus facilement aux toilettes sans avoir à forcer sur les abdominaux.

Le généraliste m’a dit qu’il ne ferait rien (aucuns examens) et que cela devait être le médecin traitant qui devait me diriger et prescrire les examens nécessaires.

Il m’a dis qu’il fallait un IRM de l’arrière du dos au complet.

 

 

J’ai revu le médecin psychiatre en lui expliquant vouloir voir mon médecin traitant afin qu’il me dirige. Je voulais aller dans une clinique sur Lyon, mais on m’a dit que c’était mieux d’aller aux HCL qu’ils étaient meilleurs.

 

 

J’ai obtenu une permission afin d’aller voir mon médecin traitant.

 

Je connais mon médecin traitant actuel depuis quelques années.

Il n’est pas au courant de toute mon histoire.

A l’origine je ne voulais pas le mêler à ce dossier du fait que c’était un gentil médecin.

Je lui avais expliqué sans rentrer dans les détails:

 

Avoir un trou dans le dos (géode), hyper signal associé à un remodelage, hyperlaxité de l’articulation sacro-iliaque du à des lésions ligamentaires.

Je lui avais expliqué être en procédure afin de faire respecter mon droit à me faire opérer.

Il ne me connaît pas beaucoup, je n’allais le voir que lorsque je toussais où pour faire les vaccinations.

 

10 - fichier  (courrier pour neurochirurgien)

 03.09.2010. Visite chez le médecin traitant

 

J’ai expliqué être en permission afin de pouvoir venir le voir.

 

Je lui ai dis qu’après être bloqué au niveau de la justice ainsi qu’au niveau de la médecine.

Étant donné que je n’arrivais pas à me faire soigné comme une personne normale.

J’avais mis le feu à un buisson afin de pouvoir être opéré en faisant respecter mon droit aux soins en temps que criminelle.

Je lui ai demandé de me diriger sur Neuro vers un chirurgien capable de gérer  mon dossier.

Je lui ai expliqué que les HCL ne faisait que se défendre en disant « c’est compliqué».

Il n’avait alors qu’à se débrouiller étant donné que le problème venait bien des HCL. (Je donnais au HCL une chance de faire ce qu’il faut)

Mon médecin traitant me dirige vers le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro).

Prise de rendez vous pour le 18.10.2010

 

  

En rentrant au Vinatier, j’ai demandé au médecin (psychiatre) si je pouvais rentrer chez moi et attendre le rendez vous chez moi.

Le médecin (psychiatre) me disait que je ne pouvais pas sortir du fait que je ne regrettais pas mon geste. J’expliquais que l’on ne m’avait pas laissé le choix.

 

11 fichier : Courrier au préfet 19.09.2010

 

J’ai donc écris au Préfet afin de dire que je regrettais mon geste  en expliquant la raison de mon geste.

J’expliquais dans ma lettre avoir été dirigé vers le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro).

Je demandais au cas ou je ne pouvais me faire soigner en France, de bien vouloir levé  mon hospitalisation d’office afin d’aller me faire soigner à l’étranger.

 

J’ai pu voir le Professeur du service au Vinatier avant ma sortie, quelques jours avant ma sortie à l’essai.

J’ai expliqué avoir été dirigé vers le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro).

 

Ce jour là, On m’a expliquée que j’allais sortir mais que je restais en hospitalisation d’office avec interdiction de sortir du territoire.

J’allais être suivi au CNP de ma ville, ils suivrons mes démarches afin d’être soigner.

Ma mère et mon frère étaient présents ce jour là.

 

Quelques jours avant ma sortie, j’ai rencontré le médecin du CNP, c’est une gentille femme.

Elle allait me suivre près de chez moi.

Elle me suivrait dans mes démarches afin de me faire soigner.

 

Image 12

J’ai pu sortir le 06.10.2010 après 2 mois au Vinatier.

 

Image 13

LE 8.10.2010, j’ai reçu la réponse du Préfet suite à mon courrier du 19.09.2010

  13 - reponse du prefet 8.10.2010.1

 

 

Le 18 octobre, lors du rendez vous avec le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro),

J’étais accompagné de mon petit frère.

Le rendez vous a duré moins de 2 minutes.

Il a refusé de faire quoi que ce soit et ne m’a même pas examiné.

Apres avoir vu l’IRM passé en Suisse, le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro),  a refusé de me diriger. Il m’a dit que je n’avais qu’à aller en Suisse là où j’avais passé cette IRM.

Où alors, le médecin traitant n’avais qu’a me dirigé plutôt vers un rhumatologue.

Ils refusaient également de se mêler de ce dossier alors qu’ils avaient vu qu’il y avait un problème.

 

Image 14 – 26.10.2010

J’ai écris au Préfet après avoir vu le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro)

Je lui expliquais comment c’était déroulé le rendez vous.

Je demandais à ce que mon hospitalisation d’office soit levée afin de pouvoir partir faire des examens à l’étranger.

J’expliquais que les HCL étaient responsables de mon état et qu’ils m’avaient également refusé des soins.

Les HCL se défendent pourtant devant le Tribunal Administratif en disant que c’est un dossier compliqué, mais refusent de respecter mon droit aux soins et examens.

 

J’ai vu mon médecin traitant qui m’a examiné pour la 1ere fois depuis que je le connaissais.

Il m’a examiné dos, estomac cotes sous le pectoral, moyen fessier  arrière cuisse au niveau de la hanche.

 

Je lui est expliqué comment c’était déroulé le rendez vous avec le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro) rendez vous qui a duré moins de 2 minutes.

Je lui ai expliqué que le Docteur Gyotat m’avait dit de repartir en Suisse après avoir vu l’IRM venant de là bas.

J’ai demandé à mon médecin traitant s’il pouvait me prescrire un IRM lombaire sacro-iliaque identique à celui de 2001.

Je lui ai expliqué que le médecin généraliste du Vinatier m’avait dit qu’il fallait un IRM complet de l’arrière du dos mais qu’il m’avait dit que cela devait être le médecin traitant de le prescrire.

Je lui ai dis qu’ensuite il pourrait me diriger directement vers un chirurgien sans que j’ai a montré l’IRM venant de Suisse.

 

 

Mon médecin traitant m’a prescris un IRM lombaire sacro-iliaque.

Il  m’a demandé si je savais où aller le passer.

Je lui ai dis vouloir le passé au même endroit avec le même médecin  afin qu’il soit identique pour pouvoir être diriger par la suite.

Je lui ai aussi demandé si j’allais bien avoir des images montrant la totalité de l’arrière du dos.

La prescription était faite pour ça.         

 

En 2001, Le Docteur Mifsud (rhumatologue de Neuro) me réclamait un IRM identique à celui de 2001 mais refusait de le prescrire. Quand je lui avait déposé l’IRM Suisse, sa secrétaire m’a rappelé pour récupéré les clichés. Elle m’a dis que le Docteur Mifsud (rhumatologue de Neuro) lui avait dit qu’il fallait un angle identique à celui de 2001)

 

 

Le médecin qui me suivais a présent au CNP ne connaissait pas tout mon dossier.

 

Fichier 15 – 28.10.2010 rendez vous au CNP

J’ai revu le médecin du CNP, je lui ai emmené une copie du courrier adressé au Préfet où je demandais ma levée d’hospitalisation d’office afin d’aller à l’étranger.

J’ai remis divers comptes rendu, trou, hyper signale, hyper laxation ect.

J’avais amené les clichés originaux.

J’ai remis le dossier remis lors de mon arrestation afin qu’elle connaisse mon dossier.

Dossier écrit, exposé des faits, dossier dessiné, trajets de mes douleurs clichés sur papier photo.

Je lui ai montrés les clichés sur papier photo ainsi que les originaux.

Elle a vu le trou sur les clichés qui étaient flagrants.

Je lui ai dis que je ne tenais plus à droite car tout était distendu.

Elle a lu les comptes rendus, elle m’a examiné au niveau du dos.

Ce médecin est quelqu’un de gentil.

Elle a téléphoné à mon médecin traitant pour lui dire qu’elle était d’accord pour qu’un IRM soit fait.

Elle m’a dit qu’elle demanderait également la levée de l’hospitalisation d’office.

Elle m’a dit que je ne devais rien faire d’illégale sinon le Préfet risquait de me remettre au Vinatier en hospitalisation d’office.

 

 

J’ai pris rendez vous avec le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) pour un IRM lombaire sacro-iliaque.

 

16 – IRM - 30.11.2011

Le jour de l’IRM du 30.11.2010, J’ai juste amené l’IRM de 2001 avec son compte rendu fait par le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical).

J’ai montré un schéma et expliqué comment les douleurs avaient commencé.

Je l’ai également indiqué en le montrant sur mon dos.

 

Au Vinatier le médecin généraliste m’avait dit de ne surtout pas montrer  les clichés sur papier photo et qu’il fallait peut être reprendre sans montrer mes examens.

 

Apres la réaction du Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro) en voyant tout les clichés, surtout celui venant de Suisse. Je voulais éviter la même réaction.

J’avais juste besoin d’un IRM complet pour être dirigé vers un chirurgien.

J’ai montré au jeune qui était venu dans la cabine mon schéma (voir ci-dessous) en indiquant sur mon dos coté gauche comme coté droite.

 

Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) est venu dans ma cabine, je lui ai montré mon schéma ci-dessous en lui indiquant sur mon dos.

Je lui ai dit que ça avait fais clac à gauche les 2 boules et le clac à droite

J’ai expliqué avoir des impulsions électriques jusqu’au testicule.

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 

schema bas du dos 

 

Le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) m’a dit qu’il faudrait le faire (IRM) en 2 fois afin que cela soit fait correctement.

 

Une fois l’IRM terminée le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) m’a dit que tout était normal.

Je me disais comment c’était possible.

 

J’ai attendu que l’on me tape le compte rendu afin que je vois les images qui avaient été faites de la sacro-iliaque.

 

Le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) venait de partir, j’étais la dernière personne qu’il voyait.

 

Une fois le compte rendu tapé on m’a remis l’IRM.

En regardant les clichés sacro-iliaques, tout était gris, on ne voyais rien.

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 IMG0 

J’ai demandé à voir une personne afin de savoir pourquoi ne pas avoir fais un IRM sacro-iliaque comme les images de 2001.

Un jeune m’a accompagné à un bureau, j ai alors montré les deux planches, celles de 2001 et celle fais cette fois ci (30.11.2010).image ci-dessus tiré de l’IRM.

Le jeune me dit que la sacro-iliaque avais été faite.

J’ai dis qu’on ne voyait rien sur ces clichés.

Le jeune m’a répondu que je n’étais pas médecin et que ça avait été fait.

 

Je suis rentré chez moi, dégoûté avec l’impression qu’on se foutait de moi.

On me prescrit un IRM identique et on me fait un truc différent.

J’avais pourtant montré le schéma indiquant le clac à droite comme le claque à gauche.

Je l’avais aussi montré sur mon dos.

J’ai repris rendez-vous avec le Docteur V (médecin en imagerie médical).

On m’avait dit qu’il faudrait le faire en deux fois pour qu’il soit fait correctement. 

 

 

 17 – fichier IRM 07.12.2010

 

Le jour de l’IRM, J’ai amené cette fois-ci la planche de la sacro iliaque de 2001 ainsi que celle venant de Suisse (2002).

 

J’avais remis à l’accueil les clichés sur papier photo (27x19) avec les indications. Ces clichés sur papier photo ce trouvent ci dessous.

 

Clichés de l’IRM 2001+ clichés de l’IRM Suisse. Ils étaient identiques à ceux se trouvant au Tribunal Administratif sur lequel je demandais une expertise afin de connaître mon état.

 

 

Les images médicales sont inversé la gauche se trouve à droite comme indiqué sur les clichés. Les commentaires sous les clichés ci dessous étaient ceux demandé au Tribunal Administratif (expertise toujours refusé). Les HCL ont toujours été contre une expertise sur ces clichés. 

 

IRM 2001

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

5---image-9-sur-papier-photo-copie-1.jpg 

 

Y a-t-il lésions musculaire au point B en comparaison au point  A.

C, y a-t-il lésions ligamentaire (le ligament c’est rabattu sur lui-même)

 

 

 IRM 2001

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

6 - image 10 sur papier photo 

 

Au point 1, y a-t-il lésion ligamentaire. À gauche le ligament c’est il rabattu sur lui-même. Y a-t-il un trou au niveau de la flèche à gauche.

 

 

 

 

 

IRM Suisse 2002

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

7 - image 11 sur papier photo 

 

 

Tout est parti d’un problème de jambe plus courte. Y a-t-il des lésions  au niveau des flèches.

 

 

Cette fois-ci le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical)  ne pouvait pas me rater, c’était impossible.

Un jeune technicien est passé à la cabine je lui est remis la planche de 2001 avec la planche venant de Suisse 2002.

J’ai expliqué qu’on avait prescris une IRM  pour pouvoir être diriger vers un chirurgien.

J’ai expliqué que je devais avoir une IRM Française du fait que personne n’apprécie celui venant de Suisse.

J’ai lu au jeune qui était passé dans la cabine les compte rendu, trou, hyper signale, hyper laxation. J’ai montré a nouveau les schémas.

Le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) est passé à la cabine je lui ai montré à nouveau sur mon dos (clac à gauche clac à droite deux boules).

 

 

Je ne pouvais pas faire mieux.

 

Apres avoir fait l’IRM le Docteur Vienne est passé me voir dans la cabine.

Il m’a montré la planche faite avec un angle identique à celui fait en 2001.

Il me montre ces clichés en disant qu’il n’y avait rien.

 

  irm2010

 

Je lui ai alors montré les clichés sur papier photo qu’on m’avait rapporté dans la cabine.

Je lui ai indiqué les clichés où l’on voit le clac à gauche.

  

Je lui ai dit qu’il manquait des images dont celle ci-dessous. Il n’a pas nié,

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

      lesion a gauche

 

Il m’a dit qu’il n’y avait rien à l’endroit que j’indiquais à droite.

Normale il manque 2 images essentielles correspondant à 1 cm d’épaisseur.

 

Le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) m’a dit qu’il écrirait le compte rendu et qu’il l’enverrait directement à mon médecin traitant.

 

   

J’attendais de voir s’il y avait d’autres clichés.

Quand j’ai reçu le compte rendu avec les clichés j’ai vu qu’il y avait une autre planche avec un angles identiques à celui fait en Suisse.

Le problème c’était que tout était noir, on y voyais rien.

Le compte rendu disait d’arrêter toutes les imageries et de me mettre sous tutelle.

Dans la pochette de l’IRM, il y avait 2 planches imprimées :

Une avec un angle identique à celui de 2001. (2 images manquantes)

Une avec un angle identique a celui de 2002 fais en Suisse. (Tout noir)

Il n’y avait pas de CD, je l’ai reçu par courrier quelques jours plus tard.

 

 

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

      39 - comparaison d'IRM 

 

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

irm suisse agradissement2

 

Lorsque j’ai passé l’IRM en Suisse, le médecin demandait à parler au médecin Français, mais personne n’avait de conseil à avoir des Suisse.

 

J’étais dégoûté, je me disais que ce n’était pas possible. Ils le font exprès.

 

Je suis rentre chez moi sans rien dire, je me demandais ce que je pouvais faire.

J’avais l’impression que tout était contre moi.

 

J’ai alors montré les clichés où l’on voyait rien mais également celle ou il manquait les 2 dernières images.

 

J’ai montré le compte rendu où le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical)  demandait à mon médecin traitant d’arrêter de faire des imageries et demandais également à me mettre sous tutelle. (Compte rendu Fichier 17)

 

 

 

Voir l'ensemble des clichés a cette adresse :

 

http://rechercheverite2.over-blog.com

 

La copine de mon frère m’a dit que c’était la merde car lorsqu’on était sous tutelle d’autre personne contrôle votre vie. On me conseillait de partir à l’étranger car ça devenait du n’importe quoi.

 

Je suis allé voir mon médecin traitant pour lui montrer l’IRM où tout était gris et celui où il manquait les 2 dernières images.

J’ai également vu ce jour là stagiaire qui travaillait avec lui. Un médecin (fille gentil).

Je lui montrais les clichés Suisses où l’on voyait tout muscles, nerfs et l’autre où tout était noir.

Elle a voulu m’examiner : dos, estomac, moyen fessier.

Elle a photocopié les 2 comptes rendus.

Elle me disait que parfois toutes les images ne sont pas imprimées et qu’elles devaient se trouver sur le CD de l’IRM.  

 

J’ai demandé à être dirigé vers un neurologue.

On m’a fait un courrier pour le Docteur Vial (neurologue à Neuro)  en me disant que c’était un des meilleurs.

Je n’ai pas dit que je l’avais déjà vu et comment ça c’était passé avec lui.

Je me disais on m’a prescris un IRM, il a été fait avec le même médecin qui a fait celui de 2001.

J’allais voir le même médecin (Docteur Vial neurologue) pour l’EMG en espérant que cette fois-ci ça allait enfin s’arrêter.

 

Image 18

J’ai téléphoné afin de prendre rendez-vous avec le Docteur Vial (neurologue).

On m’a donné un rendez vous avec le Docteur Nadia Vandenberghe (neurologue du service)

 

Image 19 : 31.12.2010

19---reponse-prefet-31.12.2010.jpgLe Préfet m’avait écrit en réponse à mon courrier du 26.10.2010.

Ce courrier disait que j’étais toujours sous hospitalisation d’office avec interdiction de sortie du territoire.

 

J’ai regardé le CD de l’IRM fait par le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical), reçu par courrier.

Je voulais voir si toutes les images étaient sur le CD comme le disait la stagiaire de mon médecin traitant.

 

J’ai regardé mais l’IRM s’arrêtait bien 2 images avant.

Ces 2 images représentaient 1 cm d’épaisseur.

J’ai remarqué qu’il y avait un troisième fichier sur le CD.

Ce fichier n’avait pas été imprimé. Il y avait dessus des images du moyen fessier.

 

J’ai fait tiré ces images sur papier photo.

    

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 

  remodelage moyen fessier-copie-1

  

Sur cette période, je ne sais plus si j’ai vu le médecin du CNP avant de passé l’IRM du 7.01.2011.

 

J’ai revu le médecin au CNP, cette fois-ci ma mère voulait m’accompagner.

Elle avait peur que l’on m’enferme à nouveau au Vinatier.

J’ai fais une copie du CD de l’IRM où il manquait les 2 dernières images

J’ai mis sur papier photo les images du 3e fichier.

(Images ci dessus)

 

J’ai montrer les clichés de 2001 puis celui de 2010, je disais qu’il manquait 2 images, qu’il n’étais pas complet.

On me demandait comment je pouvais le savoir. Elles étaient peut être sur le CD.

J’ai remis les clichés sur papier photo + copie CD.

Le médecin pouvait voir par elle-même qu’il n’était pas complet et qu’il manquait bien des images.

Je lui ai dit que mon médecin traitant m’avait dirigé vers un neurologue pour un EMG.

J’ai dis que j’amènerais alors tout mon dossier lors de cette EMG.

Lors de ce rendez vous, j’ai récupéré le dossier dessiné afin de pouvoir l’amené avec une copie (déjà imprimé) du dossier "exposé des faits" ainsi que les clichés originaux apporté lors de l’EMG.

 

Fin décembre,  j’ai eu plusieurs craquements au niveau du coup qui on donné des vertiges, des pertes de connaissance.

Sensation que ça remontait dans le coup.

 

Devant passé EMG le  21.01.2011

 

J’ai pris la décision de passer un IRM, cet fois-ci je ne montrerais que l’IRM de 2001 ou il y a la géode, celui de 2002 où il y a hyper signale remodelage + scanner  hyper laxité dû à des laissions ligamentaire.(version accident)

 

J’aurais pu reprendre l’ordonnance de mon médecin IRM Lombaire sacro-iliaque. Mais, j’ai préféré adapté l’ordonnance afin d’éviter des images inutiles.

 

J’étais conscient que c’était illégal mais je trouvais que je n’avais pas le choix.

Avec de la chance, j’aurais pu être dirigé vers un chirurgien si l’IRM était fait correctement.

 

 

20 – fichier – IRM passé le 7.01.2011

Lors de l’examen, j’ai remis l’IRM 22.02.2002, le scanner 5.03.2002 ainsi que la planche faite en 2001 par le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical).

 

J’ai réussi à passé une IRM de la sacro-iliaque.

 

Lors de l’IRM, j’ai indiqué à la personne venue dans ma cabine.

Le clac sur mon dos à gauche et le clac à droite en disant que ça allait jusqu’au moyen fessier (testicule).

J’ai préféré ne pas montré mon schéma ou les images sur papier photo afin d’éviter que l’on me trafique encore les images. J’ai fait cette IRM en donnant la version accident.

Le médecin m’a fais beaucoup d’images, il est venu me voir.

Je lui est indiqué le clac à gauche et le fait que le moyen fessier était dégonflé a droite.

 

Une fois l’IRM fini j’espérais que ça s’arrêterait. Mais non j’étais dans la merde.

 

Le médecin est parti regarder les images. En revenant il m’a dit vouloir faire d’autres images. (Le médecin était quelqu’un de gentil).

 

J’ai expliqué avoir été dirigé vers un neurologue.

Le médecin m’a dit que ce n’était pas nécessaire d’aller voir un neurologue.

Il m’a dit qu’il écrirait à mon médecin traitant pour le prévenir de la nécessité de faire des clichés supplémentaires.

 

 

A ce moment là j’avais l’impression d’être dans une merde pas possible.

Comment expliquer à mon médecin traitant cette IRM en lui disant avoir adapté son ordonnance. Au CNP, on m’avait dit de rien faire d’illégal sinon on me renverrait en hospitalisation d’office au Vinatier.

Je venais en plus de recevoir un courrier du Préfet me disant être encore en hospitalisation d’office avec interdiction de sorti du territoire (Courrier 31.12.2010 - image 19)

 

J’ai récupéré les clichés, le compte rendu dit que tout est normal.

En regardant les clichés, je comprends pourquoi le médecin voulait faire d’autres clichés.

Le problème c’est que je ne savais pas comment mon médecin réagirait en recevant la lettre d’une IRM qu’il n’a pas prescris.

 

 

Je m’excuse envers le médecin qui m’a fait l’IRM du 7.01.2011,

Je ne juge pas son travail, je le remercie même d’avoir fait toutes ces images.

Cela prouve qu’il agit dans l’intérêt du malade.

J’aurais aimé continuer avec lui du faite qu’il était quelqu’un de bien.

Mais le risque d’être enfermé encore au Vinatier étais la.

 

Je comprends également vu le nombre d’images faites qu’il n’a pas pu voir une certaine image.

En voyant l’IRM, je connaissais pourtant exactement l’endroit et l’image.

Je ne pouvais pourtant rien dire pour ne pas fâcher ce médecin.

 

J’espère que lorsqu’il prendra connaissance de cette histoire il ne m’en voudra pas.

J’espérais seulement pouvoir être dirigé directement vers un chirurgien.

 

 

Afin que l’on ne me dise pas que j’ai fais une arnaque à la sécurité sociale.

J’ai payés la totalité de l’IRM ainsi que les frais du médecin en disant avoir oublié ma carte vitale.

Je ne touche pourtant que le RSA.

Rentré chez moi, j’ai déchiré les feuilles de soins qui m’ont été remis afin de me faire remboursé.

 

  

21  fichier : courrier envoyé le 8.01.20011

 

J’ai écris une lettre au Préfet en y joignant les feuilles de soins déchiré (J’expliquais avoir été dirigé vers Neuro pour un EMG  (voir courrier Préfet). J’ai également ajouté une copie de la lettre adressé à la direction des HCL où je préviens avoir été dirigé pour faire un EMG.

Je demandais aux HCL de faire en sorte que cela se passe bien cette fois ci.

J’ai également ajouté un courrier adressé au Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) où je demandais à ce qu’il m’imprime le troisième fichier qui se trouve sur le CD de son IRM.

Je demandais également qu’il commente les images de ce 3e fichier correspondant au moyen fessier.

Je n’ai eu aucune réponse du Docteur Vienne (médecin en imagerie médical).

J ai laissé plusieurs messages à sa secrétaire mais il ne répond pas à ma demande.

 

 

Le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) a refusé de m’imprimé la planche d’où on été tiré ces images ci-dessous.

Il a refusé également de les commenter.

 

   

 

Ces images ci dessous montre pourtant un problème sur le moyen fessier.

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

a12

 

Je suis également passé au cabinet de mon médecin traitant afin de déposer les copies des courriers envoyés au Préfet à la direction des HCL ainsi que celui adressé au Docteur Vienne (médecin en imagerie médical).  8.01.2011

 

J’espérais que mon médecin traitant ne m’en voudrait pas pour l’IRM que j’avais passé le 7.01.2011. Il pouvait voir dans les courriers que cette IRM a été entièrement payé de ma poche.

 

Dans Le courrier adressé à la direction des HCL :

J’ai écris à la direction des HCL afin d’expliquer le déroulement du rendez-vous avec le Docteur Gyotat (neurochirurgien à Neuro).

Je prévenais la direction des HCL de mon passage à Neuro afin de passer un EMG.

J’expliquais que les HCL étaient au courant de mon dossier et qu’ils se défendaient devant le Tribunal Administratif  en disant chaque fois que c’était compliqué.

Je leur laissais une chance de mettre un terme à ce dossier.

 

 

Je sais que mon médecin traitant ne m’en voudra pas pour l’IRM passé le 7.01.2011.

Je sais qu’il comprend la situation dans laquelle je me trouvais. J’espérais juste être dirigé une fois pour toute vers un chirurgien afin d’avoir une chance de retrouver une vie normale.

 

 

Mon médecin traitant m’a dirigé vers un neurochirurgien qui en moins de deux minutes m’a envoyé balader.

Il m’a ensuite prescris une IRM où il manque des images essentielles pour être diriger vers un chirurgien.

Où l’on a fait des planches bidon en comparaison à la planche venant de Suisse où ce médecin essaye même de me faire mettre sous tutelle.

 

Je devais donc attendre l’EMG à Neuro en espérant que cela ce passerait bien et qu’on m’aiderait enfin.

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 16:19

 Déroulement de l’EMG réalisé le 21.01.2011

 

 

22  fichier : dossier amené le 21.01.2011

J’avais également amené l’IRM fais le 7.12.2010 et celui fais le 7.01.2011

 

Le 21.01.2011, j’ai vu le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) pour un EMG.

Comme indiqué dans mon courrier adressé le 5.01.2001 à la direction des HCL.

Je les mettais au courant afin qu’il fasse en sorte que les choses soient faites correctement.

Ce jour là, j’ai amené tout mon dossier.

Lors de cette EMG étaient présentes le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) ainsi qu’une autre dame (technicienne)

Le Docteur Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) m’a dit que j’avais déjà passé un EMG en 2001 avec le Docteur Vial (neurologue). Elle m’a dit également que j’avais déjà vu un neurochirurgien.

J’ai expliqué comment cela c’était passé avec le neurochirurgien (Docteur Gyotat). Voir courrier envoyé au HCL le 8.01.2011. Daté du 5.01.2011

 

Le déroulement de l’EMG réalisé en 2001 se trouve dans l’exposé des faits déposé au Tribunal Administratif.

J’ai tendu les comptes rendu et montré le schéma de mon état actuel.

Le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) a refusé de voir les comptes rendu de mon dossier.

Elle m’a dit ne pas vouloir être influencé.

Je l’ai donc laissé faire son examen en expliquant le trajet de mes douleurs :

Les douleurs sont parties sur le devant de la jambe ensuite sont remontées derrière.

Ca a commencé à sauter au niveau de l’estomac puis c’est allé au niveau du moyen fessier, jusqu’aux cotes.

J’ai indiqué le trajet comme je l’avais fait dans le dossier « schémas dessinés » qui se trouve au Tribunal Administratif.

Lors de l’EMG, j’ai montré à plusieurs reprise le moyen fessier en lui disant que ça c’était complètement dégonflé.

Je lui ai tendu le schéma de mon état actuel. Elle a refusé de le regarder.

Elle m’a dit à plusieurs reprises qu’elle ne ferait pas le moyen fessier.

Elle a utilisé un autre terme médical  pour indiquer cette partie car le moyen fessier est une zone allant jusque qu’au parti génital.

 

Arrivé à la fin de l’examen je lui ai encore montré le moyen fessier en expliquant que ça c’était complément dégonflé.

Le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) comme la technicienne m’ont di qu’elles ne faisaient pas cette partie là.

 

Tout au long de l’examen, j’ai raconté mon histoire :

 

 

« En 2001, Docteur Mifsud (rhumatologue à Neuro) ». 

 je suppliais de me faire passé une simple radio en disant que ça allais jusqu’au sexe, le médecin c’étais mis a rire  en disant qu’il n’étais pas sexologue.

 

J’ai raconté comment j’allais aux urgences de Neuro en suppliant que l’on m’aide.

J’ai dit qu’un neurochirurgien m’a dit que si j’amenais la preuve ils feront ce qu’il faut. (Urgences de Neuro)

Un autre m’a dit d’arrêter de les déranger et d’aller ailleurs. »

 

Une fois l’EMG fini le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) m’a demandé si j’avais déjà passé une IRM.

Je lui ai remis les clichés sur papier photo schéma de mon état actuel ainsi que le dossier « exposé des faits » accompagné du dossier dessiné de 45 pages identique à celui se trouvant au Tribunal Administratif.

Sur ce dossier, j’y raconte toute mon histoire  en indiquant comment la douleur avait évolué ainsi que le courrier adressé au Directeur des HCL.

J’avais les comptes rendus de l’EMG réalisés en 2001 contredisant celui du Docteur Vial (neurologue de Neuro) ainsi que les comptes rendus de l’IRM passée en 2002 où il était confirmé un remodelage au niveau du moyen fessier avec un hyper signal sur cette zone.

J’ai amené tous les documents indiqués dans le courrier adressé à la direction des HCL qui a été envoyé 3 semaines avant l’examen.

 

Le Docteur Nadia Vandenberghe (neurologue) a pris les documents pour aller montrer mon dossier au Docteur Vial (neurologue qui m’avais fais un EMG en 2001).

Elle est rapidement revenue en disant que tout était normale.

Je lui ai dis que ces clichés montraient pourtant qu’il y avait un problème.

Le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) m’a répondu qu’ils ne savaient pas interpréter ces clichés.

 

 

Fichier 23: courrier du vendredi 21.01.2011

Une fois rentré chez moi, j’ai écris le jour même à la direction des HCL au Docteur Vial (neurologue), Docteur Mick (neurologue) qui a envoyé baladé le médecin qui m’avais dirigé en 2002  (voir exposé des faits).  

 

J’ai écris également au Préfet afin de lui indiquer que le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) avait refusé de m’imprimer les images du 3é fichier se trouvant sur le CD de l’IRM passé le 7.12.2010.

Je dis également que l’on avait refusé de faire un EMG sur le moyen fessier.

 

J’ai écris dans le courrier adressé à la direction des HCL que le moyen fessier n’avait pas été fait.

J’explique avoir indiqué à plusieurs reprise le moyen fessier au Docteur Nadia Vandenberghe (neurologue)  mais qu’elle m’a clairement dis quel ne le ferait pas.

Aucunes aiguilles n’ont été mises sur la zone du moyen fessier.

 

Voir schéma du moyen fessier ci dessous.

 

  

  

  

  

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 

 

 

a18.jpg

Aucunes aiguilles n’ont été mises sur les parties rouges. Comment alors peut on mettre sur le contre rendu que le moyen fessier a été fait.

 

J’explique dans mon courrier adressé à la direction des HCL mon intention de me rendre au service du Docteur Vial (neurologue) afin de savoir pourquoi le moyen fessier n’a pas été fais.

 

Déroulement de la rencontre avec le Docteur Vial (neurologue)

 

 

Le  lundi 24.01.2011, je me suis rendu à Neuro afin d’avoir une explication sur le fait qu’on ai refusé de faire le moyen fessier et le fait que l’on ne fasse rien.

 

J’ai déposé une copie du courrier à la secrétaire du Docteur Mick (neurologue)

J’ai déposé le courrier adressé au Docteur Vial (neurologue) à l’accueil du service d’EMG.

J’ai ensuite attendu avec ma mère que le Docteur Vial (neurologue) me reçoive.

 

Le Docteur Vial (neurologue) est venu me chercher.

 

Ma mère et moi l’avons suivi dans un bureau. Il m’a demandé ce que je voulais.

J’ai demandé pourquoi le moyen fessier n’avait pas été fait.

Alors que j’ai montré au Docteur Nadia Vandenberghe (neurologue) que ça c’était dégonflé sur tout le moyen fessier.

Le Docteur Vial (neurologue) a consultés des documents et m’a dis que le moyen fessier avait été fait.

Je lui ai répété que le moyen fessier n’avait pas été fait, il m’a encore dit qu’il avait été fait.

Il m’a fait répété à plusieurs reprises.

Il m’a demandé si je le traitais de menteur.

Je lui ai répété encore une fois que le moyen fessier n’avait pas été fait.

Le Docteur Vial (neurologue) a demandé à ma mère si elle aussi disait qu’il mentait.

Ma mère lui a répondu que je n’étais pas un gamin qui ne savait pas ou ça été fais ou pas.

Le Docteur Vial (neurologue) a ensuite dit que nous les traitions de menteur devant témoin.

A ce moment là ma mère et moi nous nous somme regardé et avons demandé de quel témoin il parlait.

Dans cette pièce, il n’y avait que le Docteur Vial (neurologue), ma mère et moi.

Il y avait une porte ouverte donnant accès à une autre pièce.

Un homme d’une  trentaine d’année brun au cheveux court est alors sorti de cette pièce en disant qu’il était le témoin.

J’ai à nouveau répété que le moyen fessier n’avait pas été fait.

Le Docteur Vial (neurologue) a demander à ma mère si elle aussi disait que le moyen fessier n’avait pas été fais.

Elle a répondu que je n’étais pas un gamin et que j’étais capable de dire si ça avait été fais ou pas. Le Docteur Vial (neurologue) a insisté encore jusqu’à ce que ma mère dise que le moyen fessier n’avait pas été fait.

J’ai ensuite posé plusieurs questions au Docteur Vial (neurologue).

Comment se faisait il qu’un autre EMG fait le 27.12.2001 contredisait celui qu’il m’avait fait le 1.09.2001.

Et que l’IRM faite le 22.02.2002 confirmait qu’il y avait bien un problème au niveau du moyen fessier.

 

Le Docteur Vial (neurologue) m’a dit que si je n’étais pas satisfais pourquoi revenir 10 ans après et ne pas être venu avant.

Il m’a dit que je n’avais qu’à aller ailleurs si je n’étais pas satisfait à Neuro.

Je lui ai répondu qu’en 2001, j’avais supplié le Docteur Mifsud (rhumatologue à Neuro) et qu’il s’était mis à rire quand je lui avais dis que la douleur allait au niveau des parties génitale.

Je lui ai dis que je n’avais pas arrêté d’aller aux urgences et qu’on m’avait dis d’aller ailleurs car je les dérangeais.

Le Docteur Vial (neurologue) a répondu en disant qu’il n’était pas là pour régler mes problèmes au niveau des parties génitales.

Il répétait que tout était normal et que je n’avais qu’à aller ailleurs si je n’étais pas content.

Je lui ai posé une autre question avant de partir.

Est-ce qu’il prétendait qu’il n’y avais pas de laissions musculaire ou ligamentaire.

Il m’a répondu qu’il n’avait jamais dis qu’il n’y avait pas de laissions musculaire ou ligamentaire.

Etant donné qu’il ne faisait rien, je lui ai demandé si cela voulait dire que je pouvais alors faire un site et tout mettre sur internet. Il m’a répondu que je n’avais qu’à le faire.

Je lui ai demandé de me donner une copie de l’EMG fait le 21.01.2011 ainsi que celui fait en 2001.

En attendant qu’il m’imprime les comptes rendu, j’ai croisé la technicienne qui était présente lors de l’EMG.

Je lui ai alors demandé en présence de ma mère qu’elle me dise si oui on non, le moyen fessier avait été fait le jour de l’EMG.

La technicienne a dis qu’il fallait d’abord qu’elle regarde ce que le médecin avait écrit.

Je lui ai dit qu’elle était capable de dire si ça avait été fait ou pas étant donné qu’elle était présente ce jour là.

Elle a dit devant ma mère que le médecin n’avait pas faite cette partie là.

Elle a utilisé un terme médical qui correspond aux parties génitales.

Elle voulait d’abord voir ce que le médecin avait écrit avant de dire quoi que ce soit.

 

24 Fichier  - EMG 2001- EMG 2011 + totalité des EMG

Une fois que j’ai obtenue les comptes rendus des l’EMG, ma mère et moi somme rentre chez nous.

 

En 2002, un  neurologue de la Croix Rousse (Docteur Petiot - HCL) m’avais fais un EMG du moyen fessier. Ce neurologue a mis des aiguilles sur la partie rouge supérieures. Je n’ai pas arrêté de demander à être dirigé vers un chirurgien afin de retrouver une vie normale.

J’ai raconté à ce neurologue,  (Docteur Petiot) avoir été à Neuro et qu’on m’avais dis d’allé ailleurs car je les dérangeais.

Ce médecin m’a alors dit qu’il ne contredirait jamais Neuro.

Ce médecin avait des comptes rendu prouvant pourtant un problème sur le moyen fessier.

 

Je voulais juste être dirigé vers un chirurgien afin de retrouver une vie normale

En revoyant le neurochirurgien qui m’avais prescris l’EMG du moyen fessier, il m’avait dit que tout était normal à l’EMG.

J’ai alors dis que le neurologue m’avais dis qu’il ne contredirais jamais Neuro.

J’ai montré l’IRM Suisse celui que personne n’apprécie.

En voyant cette IRM le neurochirurgien m’a dis qu’il ne pouvais pas opéré et que cela faisais parti de la recherche.

Il m’avait dirigé vers le Docteur Mick de Neuro (neurologue) qui gérait des cas comme ça.

Le jour ou j’ai vu le Docteur Mick (neurologue), il me dis qu’il sont meilleurs que les Suisse. Il me dit aussi ne pas savoir lire IRM.

 

Il a ensuite téléphoné à un des deux médecins qui m’avais dirigé en lui disant de ce démerder avec moi. (Voir exposé des faits)

 

Toute cette histoire est connue des HCL et même du Tribunal Administratif.

Qui se défende en disant que c’était compliqué.

 

Image 25  courrier des HCL (15.02.2011)

Je reçois un courrier de la direction des HCL qui demande une enquête auprès du service de neurologie.

 

Image 26 - courrier adressé a l’Agence Régionale de Santé - Délégation Territoriale du Rhône.

 

Image 27 courrier des HCL (6.04.2011)

Le  6.04.2011, les HCL m’écrivent qu’après enquête auprès du Docteur Vial (chef de service de neurologie) que le moyen fessier avait bien été fait. Ils écrivent également que le Docteur Vial (neurologue) avait bien voulu me recevoir le 24.01.2011.

Le courrier me propose de rencontrer des médecins pour une médiation

 

J’ai téléphoné au HCL afin qu’il organise un rendez vous avec leur médiation.

N’ayant pas de réponse, j’ai rappelé les HCL.

On m’a dis qu’il fallais une demande écrite de ma part.

   

28 -  Fichier  - courrier adressé le 29.04.2011

Le 29.04.2011, j’ai écris à la direction des HCL afin de demandé un rendez vous avec leur médiation.

J’explique également dans mon courrier le déroulement l’EMG ainsi que la rencontre avec le Docteur Vial (neurologue).

J’ai fais aussi un courrier à Neuro ainsi qu’au Préfet

 

Images 29 - 17.05.2011- courrier des HCL

Les HCL m’envoie un courrier ou la rencontre de conciliation était fixée le 25.05.2011. Il y avait avec ce courrier, une demande d’autorisation d’accès à mes données médicales pour les médiateurs.

 

Images 30 – 20.05.2011

Je renvois l’autorisation d’accès a mes données médicales.

 

En partant pour le rendez vous de conciliation, je voulais amener un magnétophone afin d’enregistrer le déroulement de cette conciliation.

Surtout après que le neurochirurgien m’ai envoyé balader en moins de 2 minutes, l’EMG bidon et la rencontre avec le Docteur Vial (neurologue).

Je me posais des questions sur qui je pouvais faire confiance après tout ça.

Ma mère m’a dit de ne pas le faire (enregistrement), elle m’a dit qu’il fallait faire confiance.

 

Pourtant lors de l’expertise en 2006, la personne représentant les HCL avait bien fait un enregistrement sans me demander (voir exposé des faits pour le déroulement de l’expertise). Ca ne me dérangeait pas puisque je n’avais rien à cacher. Les HCL prétendent que non, alors que mon petit frère et moi l’avons tout de suite remarqué. L’expert (docteur Aichoune de Grenoble)était au courant puisque à la fin de l’expertise, il avait demandé au médecin représentant les HCL si elle avait tout. 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 16:13

  

Le 27.06.2011, je me suis rendu au rendez vous de la conciliation accompagné de ma mère.

Elle voulait être présente afin que cela ce passe bien.

Elle voulait également dire comment c’était déroulé la rencontre avec le Docteur Vial  (neurologue).

 

 

Déroulement de la conciliation.

 

Les deux médecins se sont présentés Docteur Vallée (professeur en neurochirurgie) ainsi que le Docteur Daligand (professeur en je c’est pas quoi), ils m’ont demandé ce qu’il se passait.

J’ai dis avoir déjà eu une médiation sans connaître l’année exacte.

 

J’ai expliqué que le moyen fessier n’avait pas été fait lors de l’EMG alors qu’il apparaissait sur le compte rendu.

On m’a dit que le Docteur Vial (neurologue) avait bien voulu me rencontrer.

J’ai expliqué comment c’était déroulé cette rencontre.

Comment le Docteur Vial (neurologue)  m’avais fait répété plusieurs fois (le moyen fessier n’avait pas été fait) et qu’il me disait que je les traitais donc de menteur.

J’ai dit que le Docteur Vial (neurologue) nous avait dit à ma mère et moi que nous les traitions de menteur devant témoin.

Nous avons expliqué qu’à ce moment là nous lui avions demandez de quel témoin le Docteur Vial (neurologue) parlait.

Nous avons dit qu’à ce moment une personne qui se cachait dans l’autre pièce était apparue en disant qu’il était le témoin.

 

 

Le Docteur Vial (neurologue) m’a demandé si je voulais que l’on fasse l’EMG du moyen fessier.

Il m’a dit que si l’on me disait que c’est normal est ce que je l’accepterais. 

J’ai répondu non.

(Ma réponse « non » était simplement qu’il était impossible que ce soit normal)

 

J’ai expliqué que mon dossier était compliqué.

 

 

J’ai alors montré un schéma (voir ci-dessous) en expliquant comment mes douleurs ont commencés de gauche à droite.

 

Lorsque j’ai présenté ce schéma ci-dessous, le Docteur Daligand m’a demandé qu’elle parti du corps représentait ce schéma.

 

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

schema bas du dos 

 

J’ai expliqué que c’était l’arrière du dos au niveau du bassin.

Je l’ai indiqué en montrant l’arrière de mon dos.

(Clac à gauche douleur qui se répercute ensuite au centre, talonnette tire à droite clac à droite)

 

31 – fichier – dossier remis lors de la conciliation

J’ai remis le dossier exposé des faits ainsi que le dossier de schéma dessiné qui indique l’historique et le trajet des douleurs.

Ces dossiers avaient été remis au Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) qui les a amené au Docteur Vial (neurologue). Le Docteur Nadia Vanderberghe (neurologue) est alors revenue rapidement en disant que tout était normal. A-t-on juste jeté un coup d’œil ?

 

Je leur ai dis que ces deux dossiers expliquaient tout.

 

J’ai proposé aux médecins de la commission de faire un IRM identique à celui de 2001. Sur les endroits que j’indique comme sur mon schéma.

Etant donné que le Docteur Mifsud (rhumatologue de Neuro) me réclamait toujours un IRM sans vouloir le prescrire. Étant donné que lorsque je montrais l’IRM venant de Suisse personne ne l’appréciait. Le Docteur Gyotat (neurochirurgien) m’avait dit de repartir en Suisse lorsque il a vu la planche Suisse, à Paris on m’avait dit qu’aucuns médecins n’accepteraient de travailler avec un IRM venant de l’étranger. 

Le Docteur Vallée (professeur en neurochirurgie- médecin médiateur) m’a dit qu’il n’y aura pas d’imagerie.

 

 

 

J’ai expliqué avoir fait un EMG en 2001 par le Docteur V (neurologue) prétendu normal et qu’un autre le contredisait 2 mois après.

Des examens confirmaient également un problème. Voir (24 fichier - EMG 2001- EMG 2011)

 

J’ai expliqué avoir d’abord été dirigé vers le Docteur Gyotat (neurochirurgien) qui m’avait dit en moins de 2 minutes qu’il ne ferait rien. Il m’avait dit que je devrais peut être plutôt être dirigé vers un rhumatologue.

 

Les médecins de la conciliation m’ont demandé mes antécédents médicaux :

J’ai dis avoir eu un corset vers l’ages de 14 ans porté 1 an ou 2 ne savais plus.

J’avais grandi trop vite colonne bascule en avant.

 

Image 32 –  documents sur problème prolactine

J’ai dis qu’à l’age de 22 ans environ après des examens dont les résultats étaient anormales (prolactine) a Neuro.

Le Docteur S m’avait annoncé la possibilité d’avoir une tumeur au niveau de l’hypophyse.

Mais qu’il fallait attendre une année pour voir l’évolution.

J’ai expliqué que durant toute cette période, je n’en avais parlé à personne ni famille ni amis.

Que m’a façon de gérer ça était de me dépenser en faisant du sport. Mais que plus la date approchait plus c’était dur à gérer.

J’ai expliqué que c’était à cette période où je m’étais abîmé l’épaule sur un mauvais geste car j’avais du mal à gérer le risque d’une mauvaise nouvelle.

J’ai expliqué avoir été soulagé une fois que l’on m’avait dit que cela n’était pas un cancer.

 

32---HCL-annonce-tumeur-au-cerveau.jpg 

 

Mais qu’ensuite, j’avais été opéré de l’épaule après un mauvais geste lors d’un service (smash)..

J’ai expliqué qu’après  l’opération on m’avait conseillé de changer mon jeu pour protéger mon épaule.

Avant j’avais un jeu d’attaque pour passé à un jeu de défense.

J’ai fais un gros renforcement musculaire jambes épaule avant de reprendre le tennis.

J’ai dis avoir traversé tableau 4 et 3e série des mon 1er tournoi. Jusqu’à 15/1  partant de Non Classé.

(Chez moi, mon frère m’a dit que c’était jusqu’à 15.2)

J’ai dis que mon but était de passer mon brevet d’état de tennis.

J’ai expliqué que mes douleurs sont apparues à partir du moment où j’ai changé ma façon de jouer.

 

 

 

 

J’ai expliqué avoir toujours su avoir une jambe plus courte et qu’à un moment sur un tournoi ça ma fait clac à gauche.

La douleur c’était ensuite déplacé vers le centre, prescription de talonnettes.

Un ostéopathe m’avais me dit que le bassin avait basculé.

Il m’avait dit de ne pas porter de talonnettes. Mais un médecin m’a dit que les ostéopathes ne sont pas des médecins (charlatans).

J’ai écouté le Docteur B (médecin du sport au HCL) et portés ces talonnettes.

J’ai arrêté de jouer au tennis ainsi que de donner des cours de tennis.

J’ai changé de travail (surveillance) puis clac à droite.

Exct  « Voir expose des faits »

 

Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé si j’avais des enfants.

Je lui ai répondu que je m’étais fixé d’avoir déjà un travail stable avant de penser à faire des enfants.

Car faire des enfants et ne pas être capable de s’en occuper, cela ne servait à rien.

Ils m’ont demandé les études que j’ai faites, si j’avais des frères et sœurs.

Si mes frères avaient fait des études.

Le Docteur Daligand (médecin médiateur) a demandé à ma mère d’ou venais son accent.

Ma mère a montré sa carte d’identité Française en disant être d’origine Croate venant en Bosnie.

Le Docteur Daligand (médecin médiateur) a demandé à ma mère si nous avions tous la nationalité Française. On lui a répondu « oui ».

 

J’ai expliqué avoir fait une procédure contre les HCL,

Afin de faire respecter mon droit à de vrais soins.

Le Docteur Daligand (médecin médiateur) m’a demandé le nom de l’expert qui était nommé et sa spécialité.

J’ai donné le non du Docteur Aichoune sur Grenoble en disant ne pas connaître ça spécialité.

J’ai expliqué avoir demandé une contre expertise car j’avais prouvé au Tribunal Administratif que l’expert avait menti sur le produit que l’on ma injecté ainsi que sur mon état.

J’ai expliqué que les HCL ont tout fait pour m’empêcher d’avoir une contre expertise sur les clichés médicaux.

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 16:05

 

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur)  m’a alors dit qu’il ne pensait pas que les HCL s’opposeraient à ce qu’une contre expertise soit faite. Il m’a demandé pourquoi les HCL aurait agi ainsi.

 

 

J’ai préféré ne pas répondre.

Ma réponse n’aurait sûrement pas plus malgré que cela aurait été la vraie raison du refus de l’expertise.

Pourtant l’expertise de ces images aurait mis un terme à ce dossier.

J’ai expliqué qu’on m’avait dit à plusieurs reprises :

Zidane avait droit aux soins du fait qu’il valait plusieurs millions.

Les assassins, vendeurs de drogue avaient droit aux soins car c’était la loi

Mais lorsque, je demande et moi, on me répond que c’était différent.

J’ai demandé au Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) médecin de la conciliation si cela voulait dire que je valais rien par rapport à Zidane.

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a répondu que Zidane c’était un autre monde.

J’ai dis qu’après les refus d’avocat de me défendre et ne trouvant plus de solution.

Qu’après le refus du Tribunal Administratif de me nommer un avocat.

 

J’étais allé mettre le feu à un buisson en face du Tribunal Administratif.

J’ai expliqué que mon but n’était pas de faire du mal ou blesser quelqu’un.

Je voulais simplement aller en prison afin d’avoir enfin des droits.

J’explique que mon but n’était pas de détruire des biens (voiture ou autres) du fait que je savais que des personnes travaillais plusieurs années afin d’acheter  une voiture et que je ne m’en prenais pas à des personnes qui ne m’avait rien fait.

J’ai expliqué que je n’avais jamais eu de problème avec la justice avant ça.

 

J’ai expliqué n’avoir trouvé que cette solution puisque je n’arrivais pas à être soigné comme une personne normale peut être qu’en étant un criminel, je pouvais peut être afin avoir des droits et être soigné pour retrouver une vie normale.

 

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé si j’étais allé en prison.

 

J’ai expliqué avoir été emmené au commissariat.

On m’a ensuite emmené à Grange Blanche.

J’ai dis avoir été vu par un médecin à qui j’avais raconté mon histoire.

Que le médecin  avait  refusé de jeter un coup d’œil aux comptes rendu de mon dossier.

 

  

J’ai expliqué qu’après avoir dit qu’une procédure avait été faite contre les HCL afin de faire respecter mon droit aux soins.

Que les HCL m’avaient baladé et que je n’avais trouvé que ça pour faire respecter mon droit aux soins.

Qu’à ce moment là, le médecin était allé voir les policiers en disant que j’étais fou.

J’ai dis avoir simplement essayé de dire au policier le fait que je n’étais pas d’accord. Etant donné que je n’étais pas fou, mais voulais simplement être soigné.

Le médecin a alors demandé alors aux policiers de m’attacher.

J’avais juste dit mon désaccord.

J’ai dit à la commission qu’après avoir été attaché, un rideau avait été tiré et qu’ensuite j’avais entendu une personne dire « ça lui apprendra ».

 

Parlait on de moi ou d’une autre personne ?

 

On m’avait ensuite envoyé au Vinatier (urgence).

Puis un premier service d’où je devais normalement sortir rapidement.

Dans ce service, j’avais vu un généraliste qui a vu mon dossier et examiné.

Qu’après m’avoir questionné on m’avait dit que j’étais grillé aux HCL.

Mais qu’il y avait d’autres façons d’être soigné que les HCL.

J’ai dis  avoir été  transféré après environ 2 semaines.

On m’avait transféré dans le service correspondant à ma ville.

 

J’ai expliqué avoir dû attendre le retour de vacances du généraliste du service.

Et que j’ai puis sortir du Vinatier au bout de 2 mois environ. 

J’ai dit en avoir marre et que s’ils ne se décidaient pas je mettrais tous sur internet.

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a dit que maintenant que la procédure était finie, je n’allais pas recommencer.

Il m’a dit que je risquais d’être poursuivi pour diffamation.

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 15:52

   

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé où j’étais allé en Suisse.

J’ai expliqué avoir vu des médecins à Genève. Les médecins Suisses voulaient parlés aux médecins Français mais que personne n’avait de conseil à avoir des Suisses.

J’ai dit avoir passé un l’IRM sur Lausanne et que le médecin voulait être appeler par les médecin Français. Mais que personne n’a voulu les appeler et qu’on m’avait dit que personne n’accepterait de travailler avec un IRM venant de l’étranger.

 

 

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé si j’avais les IRM  cliché ou CD afin qu’il les vois.

Le Docteur Daligand (médecin de la médiation) m’a dit que le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) aurait pu être nommé pour faire l’expertise.

 

Image 33 et image 34  IRM du Docteur Vienne (médecin en imagerie médical)

J’ai montré l’IRM fais par le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) en 2001 (image 33) et celui fais en 2010 (image 34)

IRM fais après que le Docteur Gyotat (neurochirurgien) avait refusé de m’aider.

J’ai demandé au Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) si c’était normal de me retrouver avec un IRM ou des images étaient manquantes.

(17 – fichier - IRM 7.12.2010)

Il a regardé les 2 planches (image 33 et image 34) et m’a dit que le médecin n’était pas allé jusqu’au bout. irm 2001 point 

 irm2010 

Image 35

Pourquoi l’IRM Suisse montrait tout muscle nerf alors que celui de 2010 tout était noir.

 

36 – fichier – clichés sur papier photo compte rendu montré lors de la conciliation

J’ai ensuite montré les clichés sur papier photo (identique a ceux se trouvant aux Tribunal Administratif) sur lequel on me refusait toujours une expertise qui montre clairement  qu’il y avait une lésion à gauche.

J’ai montré le compte rendu EMG fait par le Docteur D contredisant celui du Docteur Vial (neurologue) à Neuro.

Le compte rendu  prouvant un remodelage et hyper signale sur le moyen fessier.

Le compte rendu où il est indiqué hyper laxation dû à des lésions ligamentaires.

Compte rendu avec géode dans le dos.

 

Je demandais pourquoi il manquait 2 images alors que j’aurais pu être dirigé vers un chirurgien directement avec un IRM complet.

 

35---image-manquante-a-l--IRM-2010.jpg

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a dit cette fois-ci qu’il ne manquait pas d’images que l’IRM étais complet.

Je lui montre  (image 37) et la planche de 2010 (image 34)

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) me répète que l’IRM est complet et qu’il ne manque pas d’image.

    

Quelques minutes avant l’IRM n’était pas complet maintenant, il est complet.

Je lui montre l’image sur papier photo (agrandissement au format A4 environ) où l’on voit le clac à gauche en disant que cette image n’y était pas. Il me répondait que si.

 

       

   

 

  

 

  

  

Image 38 – document ANPE

J’ai montré le document où la médecine du Travail disait qu’il m’était impossible de travailler debout. 

  anpe.jpg

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé de lui montrer avec la pointe de son stylo l’endroit que j’indiquais. J’ai montré l’image ci-dessous cotée ou ce trouve la croix au bout de la flèche.

En voyant l’endroit il me dit que tout était normale  et qu’il n’y avait rien.

Ci-dessous une des images manquantes à l’IRM 2010

 lesion-a-gauche-3.jpg

Je lui dis que pourtant  aux urgences le Neuro en 2002, un neurochirurgien (homme de couleur) m’avait bien dit qu’il y avait  une lésion musculaire.

C’est ce même médecin qui m’avais dit : « si j’amenais la preuve il feront se qu’il faut ».

 

Je lui ai montré alors la planche (Image 35) du Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) fait en 2010 correspondant à l’IRM Suisse avec le même angle. 

 

   

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

    39---comparaison-d-IRM.jpg

 

Celui du Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) ou tout était noir. Je lui ai montré ensuite en comparaison celui des Suisse. En lui montrant où ça fait clac. Pourquoi  l’IRM est noir alors que celui des Suisse on voyait muscles et nerfs (image 39)

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 11:27

 

 J’ai ensuite montré les images ci-dessous correspondantes au moyen fessier. Image 40

Le Professeur Vallé (neurochirurgien – médecin médiateur) a dis quelle étais normale.

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 a12

J’avais un cliché mis sur papier photo tiré de l’IRM que je m’étais faite le 7.01.2011.

Ce cliché sur papier photo était retourné.

J’ai dis au Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) que cette image était tiré d’une IRM que j’ai passé y a peu de temp. J’ai dis que la façon utilisé pour obtenir cette IRM était honteuse.

J’ai dis ne pas vouloir dire qui, ni où, ni comment je l’avais fait.

J’ai dis que cette image prouvais à elle seule qu’il étais impossible que l’EMG soit normale.

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé de voir cette image.

 

Image 41 – IRM 7.01.2011

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 probleme 1

 

L’angle de cette IRM est différent de celui fais par le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical).

 

J’ai montré au Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) l’endroit au bout de la flèche, il m’a dit que c’était à droite.

J’ai répondu que je n’arrêtais pas de le montrer et le dessiner.

Le compte rendu de 2002 où il y a un remodelage et un hyper signale indique que je montre la zone approximativement 2.5 cm au dessus du niveau de l’aile iliaque droite.

 

A ce moment là le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) me demande si j’avais déjà vu le Docteur F (chirugien).

J’ai expliqué que sa secrétaire m’avait dit de repartir en Suisse. Je lui ai dit que tout était raconté dans « exposé des faits ».

Je lui ai dit avoir vu le Docteur L (médecin en rééducation) juste avant et qu’il m’avais souhaité bonne chance en regardant l’IRM venant de Suisse.

Il me demande si j’avais un CD de l’IRM.

 

42 Fichier – CD de l’IRM 7.01.2011

J’ai remis au Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) un CD qui était une copie de l’IRM fait avec l’ordonnance que j’avais modifié du 7.01.2011.

J’avais laissé les fichiers avec toutes les images sans annotations.

Il a regardé les clichés et dis qu’il ne voyait rien.

Il a tourné sont PC portable afin de me montrer une image en me disant que c’était ça le moyen fessier.

 

Voir  cliché ci dessous au niveau de la flèches.

(Cliqué sur l’image pour l’agrandir)

 moyen fessier 

Je lui ai dit qu’il pouvait gardé le CD s’il voulais. Ce n’était qu’une copie.

Il pouvais même en faire une copie ça ne me dérangeait pas.

 

J’ai demandé au Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) est ce normale qu’un médecin se mette à rire lorsque j’ai dis avoir des impulsion électrique allant jusqu’au partie génitale.

Ce médecin s’est mis à rire alors que je suppliais pour une simple radio.

Docteur Mifsud (rhumatologue à Neuro)

Qu’aux urgences de Neuro on m’ait dit d’aller ailleurs car je les dérangeais.

Qu’un neurochirurgien (homme de couleur) m’avait dit

 « Si j’emmenais la preuve, ils feraient ce qu il faut ».

 

Est-ce normale que les impulsions vont jusqu’au testicule aujourd’hui.

 

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) a dit qu’il était là pour m’aider qu’il me tiendrais au courant.

Le Docteur D (médecin  médiateur) m’a dit qu’ils me renverraient le dossier « exposé des faits » ainsi que le dossier dessiné remis au début de la conciliation.

 

Image 43 - courrier du Préfet 14.06.2011

Le Préfet m’encourage à aller voir le médecin de la conciliation.

 

Image 44 – rapport des médecins de la conciliation

Le 27.06.2011, les HCL m’ont envoyé le rapport de la conciliation.

 

J’ai appelé régulièrement la direction des HCL afin de savoir s’il allait se décider à agir.

Les médecins de la conciliation ont prétendu être la pour m’aidé.

 

Image 45 revoie des dossiers « exposé des faits, dossier dessiné »

Voyant que rien n’est fais j’ai demandé a récupéré le dossier « exposé des faits » ainsi que le dossier dessiné.

 

On me disait que mon dossier allait passé à la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge pour donner leur avis.

 

N’ayant toujours aucune réponse, je vais répondre au HCL par l’intermédiaire de ce Blog afin qu’il sache qu’on ne peut pas joué avec la vie des gents comme ils le font.

Je prend cette fois ci le monde entier comme témoin.

Ceux qui ce sentiront lésé pourront me poursuivre pour diffamation.

Ce sera leurs droits, mon droit c’est de me faire soigné et ça même si je ne m’appel pas Zidane ou que je ne suis pas millionnaire.

 

46 - Image – état actuel

Schéma de mon état actuel

  

 

Dans le rapport de la commission de conciliation :

  (Cliqué sur l’image pour l’agrandir) 1er image (censuré), 2è images (non censuré)44 - 27.06.2011 hcl commission.1

 

44 - non censsuré commission


 

Les noms souligné en rouge ne m'ont absolument pas aidé alors ne mélangé pas ceux qui ont essayé de m'aidé et ceux non rien fait.

 

 

Dans leur rapport, ils prétendent  prétendent que l’EMG a été demandé suite à une consultation avec le Docteur Gyotat (neurochirugien).

C’est faux.

Le Docteur Gyotat (neurochirugien) après avoir vu l’IRM venant de Suisse m’a dit de repartir là bas. Il m’a dit qu’il ne ferait rien. (Moins de 2 minutes)

 

Lors de cet médiation on m’a demandé quand j’étais né et où j’étais né :

En Bosnie, de parents Croates et vivant en France depuis 1974.

Ils ne disent même pas que j’ai la nationalité Française ma famille et moi même.

Je ne suis peut être pas assez Français ou reste un étranger à leur yeux.

 

Ils écrivent que je me plain en 1998 du dos et genoux et que le Docteur Brunet (médecin du sport HCL) avait à cette date prescrit radio rachis bassin. Le Docteur Brunet (médecin du sport) n’a fait que prescrire de la pommade. C’est mon médecin traitant qui m’avait prescrit les radio. le Docteur Brunet (médecin du sport) m’avait dit de revenir pour mon dos un autre jour. Pourtant genoux et dos tout étaient liés.

 

Ensuite ils mettent une liste de noms de médecin sans rentrer dans les détails.

Ils n’expliquent pas pourquoi :

J’ai du partir de Neuro après que le Docteur Mifsud (rumatologue à Neuro) c’était mis à rire

Qu’on m’ai dit d’aller ailleurs car je les dérangeaient ou d’amener la preuve (urgence de Neuro).

Ils ne disent pas que le Docteur D (médecin ne travaillant pas aux HCL) m’ai dis que je tenais encore sur des morceaux en voyant l’IRM Suisse.

Le Docteur D a lui essayé de m’aider contrairement a d’autres.

Ils ne disent pas pourquoi je suis allé en Suisse du fait que la zone était toujours ratée à l’IRM.

Ils ne disent pas que le Docteur Mick (neurologue à Neuro) a dit au Docteur F (médecin de la douleur) de se démerder avec moi.

Ils ne disent pas que c’est le Docteur F (médecin de la douleur)  qui m’a conseillé de partir à Paris.

(Un médecin qui a également essayé de m’aider)

 

46 - Fichier – clichés St Anne.

Il ne dise pas qu’a Paris, on a prétendu savoir faire une IRM et être meilleur que les Suisses. Le résultat une IRM qui ne sert à rien. (St Anne)  alors qu’ils avaient l’IRM de 2001 et celui de venant de Suisse en exemple ainsi que ceux fais en 2002 avec les divers comptes rendu, trou, hyper signale, hyper laxation ect).

 

 

Ils parlent de l’expert sans préciser que cet expert, sûrement un surdoué de la médecine, n’a pas été capable d’ouvrir un bouquin (Vidal) ou de faire une simple recherche sur Internet sur le produit injecté. Qu’il ne parle pas de cette IRM fait en Suisse alors que cet IRM existe pourtant.

 

Ils ne disent pas que les HCL comme le Tribunal Administratif refusaient chaque fois de faire respecter mon droit à une contre expertise.

Malgré le fait que j’ai prouvé que l’expert avait pourtant menti. 

 

 

Les médecins écrivent que je refusais de répondre à la question pourquoi on refuserait de me soigner.

Si j’avais donné ma réponse ils n’aurait pas été apprécié.

 

 

Les HCL pourrais eux aussi répondre à ces questions:

 

Pourquoi l’expert a mentie sur le produit que l’on m’a injecté.

Pourquoi les HCL comme le  Tribunal ont toujours refusé de faire une expertise sur ces images mises sur papier photo (IRM)

Cette expertise m’aurait pourtant permis par la suite d’être dirigé vers un chirurgien.

A-t-on quelques chose à cachés.

Pourquoi les médecins paniquent devant l’IRM fait en Suisse.

Pourquoi refuser de faire une IRM et mettre un terme à ce dossier.

 

Pourquoi 2 images essentielles sont manquantes à l’IRM faite en 2010 par le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical).

Le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) la admis lors de la médiation que cet IRM n’était pas complet.

Pourquoi les clichés de l’IRM du Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) du

7.12.2010 images identiques au Suisse. Les images sont pourtant toutes noires en comparaison à celui des Suisses.

 

Trafique t’on des examens pour m’empêcher de connaître la vérité sur mon état.

Examens qui pourrais me permettre pourtant d’être ensuite soigné.

Pourquoi un 3e ficher sur le CD de cette IRM n’a pas été imprimé pourtant ces images montrent le moyen fessier.

Pourquoi lorsque le Professeur Vallée (neurochirurgien – médecin médiateur) m’a demandé si j’avais vu le Docteur F (chirurgien) après avoir vu l’image tirée de l’IRM du 7.01.2011 passé en modifiant l’ordonnance et payé de ma poche.

 

 

Les médecins médiateurs prétendent qu’il n’y a pas de médiation possible.

A ma question va-t-on faire les images nécessaire leur réponse a été « non pas d’imagerie ».

Les HCL craignent t’ils d’avoir laisser pourrir l’état d’une personne dans le seul but était de couvrir leurs erreurs mutuelle.

Couvrir l’expert (Docteur Aichoune de Grenoble) qui a délibérément mentit sur le produit injecté comme sur mon état.

Les médecins de la commission écrivent que je suis protégé par ma mère.

Je trouve ça normale qu’une mère protége sont fils.

Ne ferait il pas pareil eux avec leurs enfants.

Surtout après que toutes ces années perdu.

Les médecins du Vinatier savent que je ne suis pas fou.

J’ai même pu prouvez au médecin du CNP que l’expert avais délibérément menti sur le produit que l’on m’avait injecté.

 

Comme je l’ai dis lors de la médiation je mettrais les images sur Internet cela montrera comment les HCL ont détruit la vie d’une personne.

Cela montrera que j’ai été obligé de faire mon propre IRM alors que les HCL sont parfaitement aux courrant de mon dossier.

Cela montrera que des personnes vont jusqu’à trafiqué des examens (EMG et IRM) empêchant une personne d’être soigné.

 

La personne au Vinatier avait raison, je suis bien grillé au  HCL

 

 

 

Je vais également encore vous apprendre quelques choses. (Commission de conciliation) c’est pourtant écrit dans «exposé des faits »

Mon prénom n’est pas Laurent mais Zoran. Apres avoir gérer seul à ma façon  l’annonce d’avoir une tumeur au cerveau à l’age de 22ans.

Ni ma famille, ni mes amis ni les personnes avec qui j’ai travaillé n’étaient au courant.

A cette époque mes parents s’inquiétaient avec ce qui se passait en ex Yougoslavie, mon grand frère faisait son service militaire à Fréjus et mes petits frères n’avaient que 13 et 10 ans.

J’ai fais à ma façon.

Seules 2 personnes étais aux courant.

Apres avoir été opéré de l’épaule, enduré toute cette souffrance.

J’ai demandé à changer de prénom, non pas que je reniais mes origines mais pour effacer toute cette souffrance endurée.

 

Je me suis reconstruit physiquement mentalement cela devait être une sorte de nouveau départ en oubliant toute cette période.

A l’heure d’aujourd’hui, personne dans mon club ne sait que j’ai changé de prénom et aucune personne ne m’a jamais vu me plaindre ou m’énerver sur un court ou dans la vie de tous les jours.

 

 

La commission des HCL veulent me faire passé pour le méchant du fait que j’ai refusé un EMG.

Mais Lorsque on vous dit :

« Si l’on me fait un EMG du moyen fessier et qu’ensuite on me dit que tout est normal est ce que je l’accepterais ».

J’ai répondu « non » car c'est impossible que ce soit normal.

Lorsque je demande : pourquoi ne pas faire une imagerie à l’endroit que j’indique sur mon schéma cela mettrait un terme à tout ça étant donné que personne n’appréciait l’IRM passée en Suisse. Étant donné en plus que les HCL connaissent parfaitement tout mon dossier.

On me répond qu’il n y aura pas d’imagerie.

Je devrais donc les croire sur parole alors qu’ils ne font que mentir.

Lors de la conciliation, j’ai prouvé que c’était impossible que l’EMG soit normal sur le moyen fessier.

Il devait logiquement faire en sorte que ce dossier prenne fin.

La réponse est qu’ils continuent à jouer avec ma vie.

Lorsque j’ai téléphoné à la direction des HCL en demandant pourquoi il ne m’hospitalise pas afin de me soigné une fois pour toute.

On me répond que les médecin de la commission ne l’on pas jugé nécessaire.

 

Je demandais qu’une chose, qu’on m’opère afin de retrouver une vie normale.

 

Tout ce qui se trouve ci-dessus avait été mis sur une clé USB.

 

Ci-dessous se trouve la suite de mes démarches mises également chronologiquement.

  

  

Après plusieurs coups de téléphones à la Direction des HCL.

J’ai demandé si le bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge allait lire mes courriers adressés à la Direction des HCL.

Courriers qui expliquent le déroulement de cette EMG ainsi que le rendez vous avec le Docteur Gyotat (neurochirurgien). 

 

 

J’ai demandé si  le bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge allait avoir accès au dossier, exposé des fait ainsi que le dossier dessiné remis lors de la conciliation.

 

Ces documents ont été remis afin qu’ils connaissent toute l’histoire.

On m’a répondu qu’ils n’auraient pas accès à ces documents du faite du secret médical.

On m’a dit qu’ils se baseraient sur le rapport des médecins de la commission de conciliation.

Comprenant qu’on allait encore se foutre de moi, j’ai demandé à la direction des HCL de me renvoyer ces deux dossiers (exposé des faits ainsi que le dossier dessiné). La personne au téléphone était quelqu’un de gentil. Elle pourra constaté que j’ai essayé d’évité de tout mettre sur internet.

 

 

     

Ci dessous le courrier prouvant que les médecins de la commission de conciliation connaissait toute mon histoire.(Cliqué sur l’image pour l’agrandir) 

 

  45---11.07.2011-courrier-hcl-renvoi-dossier.jpg

 

Comprenant qu’en mettant tout ça sur Internet, je risquais des poursuites. J’ai décidé d’allé d’abord en vacance afin que ma mère âgée et malade puisse voir sa sœur qui est également âgée.

 

Avant de partir, j’avais écris une lettre adressée au bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge datée du 23.07.2011. (Courrier au début du Blog)

J’ai mi toutes mes démarche chronologiquement sur une clé USB.

Si je n’arrivais pas à me faire soigné, je métrais alors ce courrier ainsi que mon histoire sur internet.

 

 

J’avais également écris au Docteur H qui avait essayé de m’aider en 2001.

J’espérais qu’il accepterait de m’aider à nouveau. (Transmis clé USB dossier complet)

  23.07.2011-hager.jpg

Sans réponse du Docteur H, j’aurais mis mon dossier sur Internet depuis l’étranger.

 

 

Le médecin (Docteur H) ne donnant pas de réponse, j’ai demandé à un de mes frères de téléphoner à son secrétariat afin d’avoir au moins une simple réponse.

(OUI ou NON) comme je l’avais écris dans mon courrier.

 

Mon frère m’a alors appris que le Docteur H était parti en stage ..................et qu’il serait à l’étranger (plusieurs mois).........

 

 

A mon retour, j’ai vu que le bureau de la commission locale des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge avait donné son avis sur la base du rapport de la commission des médecins de la commission de conciliation.

 

J’ai compris que les HCL continuait à se foutre de moi.

J’ai appelé le secrétariat du Docteur H afin de savoir quand je pourrais voir le Docteur H.

 

Après plusieurs coups de téléphone au secrétariat du Docteur H.

La secrétaire a décidé de transmettre mon courrier au Docteur F (médecin du sport travaillant avec le Docteur H) afin qu’il regarde mon courrier.

La secrétaire m’a donné un rendez vous avec le Docteur F (médecin du sport) pour le 13.09.2011

Elle m’a dit que le Docteur F (médecin du sport) m’appellerait après avoir vu mon dossier remis dans mon courrier avant de le voir en consultation.

Le Docteur F (médecin du sport)  m’a appelé en me disant qu’il fallait que je vois le Docteur F (chirurgien).

Il  m’a dit qu’il transmettrait mon courrier au Docteur F (chirurgien) en me donnant un rendez vous.

J’ai rappelé quelques jours après du fait que je n’avais pas de date avec le Docteur F (chirurgien).

 

En téléphonant à la secrétaire du Docteur F (chirurgien), j’ai appris que le courrier n’avait pas encore été transmis.

La secrétaire du Docteur F (chirurgien) a donc récupéré le courrier afin de le transmettre au Docteur F (chirurgien) pour qu’il donne son avis.

Le Docteur F (chirurgien) m’a renvoyé le courrier adressé au Docteur H en me disant qu’il était chirurgien de la .................. et qu’il n’était pas compétent pour m’aider.

Il m’écrit dans son courrier que si je voulais un regard neuf sur mon état je devais me tourner vers le service de rhumatologie .. C----- ------------ ----- afin de clarifier la situation.

 

J’ai appris qu’un chirurgien opérait et que c’était aux rhumatologues et neurologue de faire tous les examens nécessaires afin que le chirurgien n’ai qu’a opéré.

 

On m’a conseillé de prendre rendez vous avec le Docteur M (rhumatologue)

Le 20.09.2011, j’ai vu le Docteur M (rhumatologue) en rendez vous.

Le matin, j’étais allé voir mon médecin traitant afin qu’il me fasse un courrier afin que se soit fait dans les règles.

Mon médecin traitant qui me dirige vers un rhumatologue à la demande du Docteur F (chirurgien) afin de connaître mon état.

 

 

Le jour ou j’ai vu le Docteur M (rhumatologue), j’ai apporté une lettre ou mon médecin traitant me dirigeait vers elle avec la copie du courrier du Docteur F (chirurgien).

J’ai amené différents comptes rendu:

IRM du Docteur H

EMG, IRM ou il y a un remodelage, Scanner   (version accident).

 

Ce jour la, ma mère m’avait accompagné.

Afin qu’elle ne sache pas toute la vérité sur ce qui c’est passé, je suis allé voir seul le Docteur M (rhumatologue).

Je lui ai expliqué comment ont commencé mes douleurs

Comment le Docteur H avait essayé de m’aider, mais induit en erreur à cause de talonnettes.

Comment le Docteur H m’avait dirigé vers Neuro ou l’on m’a fait des EMG soit disant normales.

Comment :

- le Docteur Mifsud (rhumatologue) me réclamait un IRM identique à celui du Docteur H sans jamais vouloir le prescrire.

- le Docteur Mifsud (rhumatologue) c’était mis à rire en disant qu’il n’était pas sexologue lorsque je lui avais dit que ça allait jusqu’au sexe.

- où l’on se contentait de me faire faire des schémas afin de voir comment évoluait mon état.

 

Le Docteur H n’a jamais été aidé par ces personnes.

J’ai expliqué avoir été obligé de dire que j’avais eu un accident pour obtenir des examens. (EMG, IRM etc.)

Examens qui contredisent Neuro.

J’ai expliqué au Docteur M (rhumatologue) comment et où les douleurs avaient commencé grâce à des schémas

 

 

  

 

 

schema bas du dos 

 

J’ai expliqué aux Docteur M (rhumatologue) que mon médecin traitant m’avait prescris une IRM identique à celui du Docteur H mais que sur cette IRM les deux dernière images qui m’auraient permis d’être dirigé directement vers un chirurgien étaient manquantes.

J’ai expliqué que mon médecin traitant m’avait fait un EMG encore à Neuro ou l’on prétend avoir fait le moyen fessier alors que c’est faux ou l’on me dit qu’ils ne sont pas là pour s’occuper des parties génitales.

Le Docteur M (rhumatologue) a insisté pour connaître le nom du médecin qui m’avait fait ces infiltrations en demandant si elles avaient été faites sous imageries.

Lorsque j’ai dis qu’à l’époque où j’avais vu le Docteur F (chirurgien),  le Docteur F (médecin de la douleur) m’avait également dirigé vers le Docteur Mick (neurologue) à Neuro et que ce dernier avait envoyé  balader le Docteur F (medecin de la douleur) en lui disant de se « démerder » avec moi.

Le Docteur M (rhumatologue) m’a alors dis qu’elle ne voulait pas tout ces détails.

Le Docteur M (rhumatologue) m’avait dit qu’il suffisait de faire une IRM mais lorsqu’elle a su toute l’histoire elle m’a dit qu’elle ne pourrait rien faire.

 

Je n’arrive même pas à avoir une simple radio complète du dos.

J’avais dis au Docteur M (rhumatologue) qu’au cas où l’on ne faisait rien je n’aurais pas d’autres choix que de  mettre  le contenu de la clé USB sur internet.

Le Docteur M (rhumatologue) m’a dit  que je lui m’étais la pression.

J’ai expliqué que je ne voyais pas d’autres solutions.

Le Docteur M (rhumatologue) m’a alors dit que je n’avais pas besoin de passer par elle pour voir le Docteur F (chirugien)

et que le médecin traitant pouvait me dirigé vers lui directement.

J’ai laissé les comptes rendu,  un dossier dessiné expliquant comment tout avait commencé, la clé USB contenant toute mon histoire ainsi que les examens (clichés IRM) ainsi qu’une copie du CD du dernier IRM.

 

Le Docteur M (rhumatologue) m’avait demandé ce que disait le dernier IRM.

J’ai simplement dis que l’on prétend que tout est normal.

Elle m’a demandé si le trou avait disparu.

J’ai expliqué que le trou était toujours là.

Le Docteur M (rhumatologue) m’a dis que s’il y avait des lésions et le trou le médecin était censé l’écrire.

 

 

 

Le 22.09.2011, J’ai reçu un courrier du Docteur M (rhumatologue) elle m'écrit :

« Suite à notre consultation, j’ai regardé à nouveau attentivement l’ensemble de vos imageries et l’ensemble de l’historique de votre problème. Cependant, malheureusement, je ne suis pas en mesure de pouvoir vous aider en tant que rhumatologue. J’ai bien compris qu’il étais très difficile pour vous de d’accepter cet état de fait. J’ai informé le Docteur N (médecin traitant) de la situation actuelle.  En regrettant de ne pas pouvoir vous aider d’avantage »

 

Le Docteur M (rhumatologue) écris à mon médecin traitant:

Merci de m’avoir adressé en consultation Monsieur R (c’est moi) âgé de 39 ans, qui présente depuis 1988 des douleurs diffusent du rachis lombaire bas, très mal systématisé et pour lesquelles aucune lésions anatomique sous jacent n’a pu être  retenue au vu des diverse imageries.

En ce qui me concerne je ne suis pas compétente pour le traiter. Ceci semble très difficile à accepter de la part de Monsieur R (c’est moi).

 

Le  Docteur M (rhumatologue)  avait le dossier dessiné identique à celui se trouvant au Tribunal Administratif indiquant exactement ou et comment les douleurs ont commencé.

Elle avais divers comptes rendu (géode, hyper signal, remodelage, ect).

Elle avait le dernier IRM sur CD.

Elle pouvais consulté grâce à la clé USB l’IRM Suisse, l’IRM (hyper signale remodelage) ainsi ou que celui ou le Docteur Vienne (médecin en imagerie médical) a trafiqué l’IRM (manque les 2 dernières images, image toute noire en comparaison avec celui des Suisse)

 

 

 

A l'adresse ci dessous se trouve mon histoire en schéma et clichés: 

Les clichés sont consultables sur le Blog : 

http://rechercheverite2.over-blog.com 

 

 

Les Français et le Monde entier peuvent savoir aujoud'hui ce qu’il se passe en France.

 

 

J’ai écrit un courrier au Docteur F (chirurgien) expliquant qu’il m’était impossible de m’en sortir vu que personne ne veut se mêler de ce dossier.

 

J’ai attendu maintenant plusieurs semaines et je n’ai aucune réponse du Docteur F (chirurgien).

 

J’ai attendu que le Docteur H revienne de l’étranger.

Le Docteur F (chirurgien) aurais normalement pu montré mon courrier au Docteur H.

Aujourd’hui cela fait plusieurs semaines que le Docteur H est revenu en France.

N’aillant aucune nouvelle ni de l’un ni de l’autre.

 

Je décide de mettre  mon histoire sur internet.

 

Tous les sites avais été bloqué par code après que quelques médecins avaient accepeté de m'aider.

Le problème c'est que tout c'est à nouveau compliqué, c'est pourquoi je décide de mettre à nouveau les sites afin de mettre aux courant les médecins qui ont essayés de m'aider.

J’espère ainsi peu être trouver quelqu'un qui acceptera de m’opéré.

Tout est expliqué dans le blog: 

http://rechercheverite5.over-blog.com

 

 

 

-            http://rechercheverite2.over-blog.com

Historique des démarches en images et clichés médicaux

Preuve par l’image

 

Les médecins qui ont essayés de m'aider ont réalisé des examens, j’espère qu'ils ne m'en voudront pas d'utilisé les images et les comptes rendu.

Vu comment ça évolué, je veux qu'on m’opère.

 

En donnant accès à mon dossier, quelqu'un acceptera peut être de m'aider (opéré).

 resultat IRM M

 

 

 

 


image-irm-30.03.20012--a-fleche1.jpg

 

 

cliche1.jpg

 

Sans-titre-9.jpg

 

 

Derniers courriers envoyé à la Direction des HCL sans jamais recevoir de réponse. (les HCL ne propose rien à part se foutre de moi comme toujours)

----- courrier hcl censuré

 

 

------courrier-association.jpg

 

------chapurlat--censure-COURRIER.jpg

------vignot-20.03.2014-censure.jpg

------chapurlat-ok-censure.jpg

 

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Vidéo :

http://youtu.be/-0wfq3N5qqg

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=-0wfq3N5qqg&feature=youtu.be


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